Une rencontre à la pleine lune...

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Alicia soupira. Elle observa autour d’elle : des arbres, des arbres, et des arbres ! Et pas des arbres communs, avec un superbe tronc et des feuilles vertes, non ! C’était des arbres qui ressemblaient un peu à ce que l’on trouvait dans les films d’horreur : pas beaucoup de feuilles, le tronc brun clair virant vers le gris cendres, et des branches… qui faisaient penser à des bras. Oh, elle avait également oublié les petits buissons qui portaient ces fruits rouges contenant du poison. Elle ne savait pas que c’était un endroit où il était interdit d’y pénétrer. Nouvelle, elle voulait se divertir en cette nuit de pleine lune, et peut-être… trouver à manger ? Parce-que, sérieusement, elle n’aimait pas les mets humains. Ca n’avait pas le même gout que le sang tout frais d’un homme... En effet, Alicia préférait le sang des hommes à ceux des femmes, car elle le trouvait plus… savoureux et onctueux.
Bref. La demoiselle qui paraissait avoir seulement 19 ans commença à rentrer dans la foret, histoire d’y trouver un petit humain perdu… Mais à la place, elle sentit une présence spéciale. La présence d’un des siens. Sur ses gardes, et éclairée par la pleine lune, elle se retourna, et de sa voix douce elle demanda :

- A qui ai-je l’honneur ?

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Après avoir vainement parcouru la forêt, à la poursuite d’une victime qui venait de lui échapper, il tomba sur sa sœur vampire. Alors, comme ça elle aussi avait atterri ici ? Très bien ! Après tout, plus on est de fou, plus on rit.

- Tu oses poser cette question ? Ricana-t-il, as-tu donc oubliée qui je suis ?

Prenant un air faussement choqué, il s’approcha d’elle, puis retira une brindille coincée dans ses cheveux avant de la jeter un peu plus loin. Souriant, comme s’il était heureux de la revoir, il posa délicatement sa main sur sa joue et la lui caressa.

-Cela me brise le cœur, de savoir que tu m’as ainsi oublié.

Riant de plus belle, tel le fou qu’il était, il la gifla violemment.

-Et là ! Ça te revient !?

Il éclata de rire et la saisit à la gorge, plongeant son regard de dément dans le sien.

- Ça te revient maintenant ? Susurra-t-il méchamment à son oreille tout en glissant sa joue contre celle d’Alicia.

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Je suivis Alicia comme a chaque fois, et la, je vu une personne que je n'aimais pas trop c'étais son frère Cyril. Il l'a gifla puis l'a pris par la gorge. lorsque je vue cette scène, c'étais plus fort que moi, il fallait que j'intervienne
"Hola! qu'est-ce que t'es en train de faire à Alicia?" dis-je t'un ton brusque "crois moi que si tu la lâche pas tout de suite, les arbres qui nous entours serons tapis de ton sang"

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Lâchant le cou d’Alicia - non pas parce que John le lui avait demandé, mais parce qu’il ne lui trouvée plus aucun intérêt- il la poussa comme une vulgaire feuille et se tourna vers le nouveau venu en éclatant de rire.

- À qui crois-tu parler, misérable petit vermisseau insipide ? J’ai fait des choses qui dépasse ton petit esprit et dont tu n’as même pas idée, alors c’est pas un petit imbécile comme toi qui va me faire peur !

Éclatant de rire, il le saisit par les cheveux et le força à se baisser.

- Tu as de la chance d’être le compagnon d’Alicia, sinon je t’aurai déjà déchiqueté !

Le laissant tomber sur le sol, il se tourna vers Alicia.

-Tu devrais surveiller ton chien ! Cracha-t-il avec mépris, je l’ai épargné une fois, je ne recommencerais pas !

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- Tu oses poser cette question ? Ricana-t-il, as-tu donc oubliée qui je suis ?

C'était Cyril, qui d'autre pouvait ricaner ainsi? Cyril était son frère... un de ses frères, et celui qui était le plus... "spécial". Depuis qu'il avait perdu son amant, il était devenu encore plus violent et plus fou qu'il ne l'était déjà. Et bien évidemment, cela exaspérait Alicia. Ils ne s'étaient pas vus depuis pas mal de temps, et apparemment, il n'avait toujours pas changé. Elle se méfia lorsqu'il prit un air faussement choqué, pour s'approcher d'elle, retirer une brindille dans ses cheveux, et caresser sa joue. Elle recula doucement, sur ses gardes. Oui, meme avec son propre frère, elle devait faire attention.

-Cela me brise le cœur, de savoir que tu m’as ainsi oublié.

Il ria une fois de plus. Et la gifla. L'impact n'était pas douloureux, puisqu'Alicia avait légèrement reculé, et les doigts de Cyril l'avaient frôlée.

-Et là ! Ça te revient !?

Elle avait envie de lui envoyer quelques mots bien méchants, mais il la devança en la prenant par le cou, et en sursurrant "gentiment" dans son oreille:

- Ça te revient maintenant ?

Elle allait lui répondre, en se détachant de son étreinte mais il y eut un intervenant... c'était son homme de compagnie. Son compagnon, en fait.

- Hola! qu'est-ce que t'es en train de faire à Alicia? Crois moi que si tu la lâche pas tout de suite, les arbres qui nous entours serons tapis de ton sang -fit-il d'un ton brusque.

Elle fut surprise lorsque Cyril la lacha. Il n'oublia pas de la pousser telle une vulgaire feuille... Bref, il se tourna vers John, en eclatant de rire:

- À qui crois-tu parler, misérable petit vermisseau insipide ? J’ai fait des choses qui dépasse ton petit esprit et dont tu n’as même pas idée, alors c’est pas un petit imbécile comme toi qui va me faire peur !

Riant de plus belle, il saisit John par les cheveux et le força à se baisser.

- Tu as de la chance d’être le compagnon d’Alicia, sinon je t’aurai déjà déchiqueté !

Elle n'aimait pas ce qu'infligeait Cyril à son homme de compagnie. Elle n'était plus de bonne humeur. Elle voulait intervenir mais un seul faux pas pouvait blesser gravement John. Son frère le laissa enfin.

-Tu devrais surveiller ton chien ! Je l’ai épargné une fois, je ne recommencerais pas !

Alicia se mit devant John, comme pour le protéger. Ses yeux bleus devinrent brusquement rouge, signe de son mécontentement. Et elle répliqua à son frère, sur un ton très moqueur, et ironique:

- Dis-moi, mon très cher frère, je vois que ton comportement gamin a empiré depuis la disparition de "John Rosenberg-Black "...! Tu devrais faire gaffe à ce que tu dis, et ce que tu fais! Parce-que tu me m’énerve avec tes enfantillages.

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Il sourit à sa sœur, dévoilant ses canines - pas pour lui faire peur, bien évidemment. Pensait-elle vraiment que ses paroles allez avoir un quelconque effet sur lui ? À part attiser sa folie, il n’en était rien, puisse que ce n’était pas tellement lui qui contrôlait son corps, c’était plus sa folie intérieure, sa folie dévastatrice.

- Ma chère sœur, cela fait 1800 ans que je cours après un fantôme, à ma place n’aurait tu pas toi aussi sombrer dans la folie et la démence ?

Il éclata de rire, puis jeta un coup d’œil à John avant de reporter son attention sur Alicia.

-Ah ! C’est vrai, j’oubliais. Tu es incapable d’aimer ! Tu n’as jamais su ce que c’est toi, l’amour !

Ricanant toujours, il plongea son regard - noyé dans une tendre folie dévastatrice- dans celui d’Alicia. Incontrôlable, il se prit la tête entre les mains, comme s’il avait un mal de tête épouvantable.

-Et que vas-tu faire, pauvre idiote de sœur ! Hurla-t-il, tu va me tuer ? (il éclata de rire) Je ne peux pas mourir ! Là tu oubliais ? Je suis aussi immortel que toi ! J’ai essayé ! Oui, j’ai essayé de me suicider ! J’ai tout fait pour que l’ont me tuer, que l’on m’embroche, que l’on me brule ! Mais rien n’a marché ! Rien ! Tu m’entends ?

Il s’effondra à genoux, riant comme un demeurer, son regard toujours plonger dans celui d’Alicia.

- Ne prolifère pas des menaces que tu ne pourras pas tenir ! Je ne peux pas mourir ! Siffla-t-il cruellement.